L'artiste utilise l'essence de poils du vagin et du pubis pour «peindre» une image.

Un artiste du nom de Peter de Cupère a créé cette semaine des œuvres plutôt excentriques. L'artiste a utilisé «différents» outils pour exprimer ses sentiments: comme peinture, il utilisait une essence de vagin recueillie auprès de plusieurs femmes d'ethnies différentes et, à la brosse, par poils pubiens.

Cupere s'inspire de l'oeuvre de Gustave Coubert en 1866, L'Origine du monde. Ce travail consiste en une peinture réaliste représentant un vagin, qui a été censurée à plusieurs reprises au cours des siècles.

Mais Cupere voulait prouver que le tabou autour des vagins n’est pas seulement visuel. La spécialité de l'artiste est l'odorat et il avait déjà réalisé un autre travail intitulé "The Deflowering" dans lequel une statue figée avec une essence semblable à celle de son dernier travail fondait et libérait l'odeur des vagins.

Selon l'artiste, "il n'y a rien de plus créatif que de commencer un tableau blanc et de brosser les désirs qui sentent le vagin". Son travail n'a été exposé que le 2 décembre de ce mois lors de l'exposition «The Sense of Smell» au musée Moti situé à Breda, aux Pays-Bas. Souhaitez-vous vérifier de près le travail de Cupere?